La FFAF dénonce cette situation tout à fait ubuesque et interpelle à ce sujet depuis plusieurs mois les ministères concernés. A ce jour nous n’avons obtenu aucune réponse à nos demandes.
Les fleuristes qui travaillent le 1er mai ne sont pas des hors-la-loi. Ils demandent juste à pouvoir vendre du muguet sans avoir à craindre des sanctions administratives et financières.